C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

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 Résultat de la recherche de DESCH., Oeuvres Q., t.1 
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     ACCUSER     
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Ceux s'accusent qui disent mal d'autrui : Chascuns devroit penser a ses meffais, Et les autres devroit laissier aler (...) Ceuls s'acusent qui dient mal d'autrui. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 99).

Rem. Hassell 30, A15.

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     ÂNE     
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Chantez à l'âne, il vous fera des pets "Il est inutile de vouloir convaincre un ignorant" : Il vous oit bien, mais il ne lui en chaut, Autant vaudroit batre son cul au chaut. Ou enseignier a harper dix mulès Que de parler a lui ne bas ne hault : Chantez a l'asne, il vous fera des pès. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 210). Pourrez vous bien le cours du firmament Faire muer ? eaue devenir cendre...? - Certes, nennil. - Neant plus entreprandre Ne devez vous a rude cuer l'assaut ; Par l'une entre, par l'autre oreille sault Ce qu'on lui dit, n'est que riote et plès ; Depportez vous d'enseignier tel vassaut : Chantez a l'asne, il vous fera des pès. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 211).

Rem. Morawski 340 : Chantés a l'asne, il vous fera des pés. Hassell 40, A142 ; DI STEF. 24b, ane.

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     ÂNE     
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Chantez à l'âne, il vous fera des pets "Il est inutile de vouloir convaincre un ignorant" : Il vous oit bien, mais il ne lui en chaut, Autant vaudroit batre son cul au chaut. Ou enseignier a harper dix mulès Que de parler a lui ne bas ne hault : Chantez a l'asne, il vous fera des pès. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 210). Pourrez vous bien le cours du firmament Faire muer ? eaue devenir cendre...? - Certes, nennil. - Neant plus entreprandre Ne devez vous a rude cuer l'assaut ; Par l'une entre, par l'autre oreille sault Ce qu'on lui dit, n'est que riote et plès ; Depportez vous d'enseignier tel vassaut : Chantez a l'asne, il vous fera des pès. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 211).

Rem. Morawski 340 : Chantés a l'asne, il vous fera des pés. Hassell 40, A142 ; DI STEF. 24b, ane.

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     BATTRE     
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[Un des proverbes évoquant des actions qui font perdre temps et peine] Autant battre son cul au chaud que de... parler à qui ne veut entendre : Il vous oit bien [celui qui ne veut entendre], mais il ne lui en chaut, Autant vaudroit batre son cul au chaut Ou enseignier a harper dix mulès Que de parler a lui ne bas ne hault : Chantez a l'asne, il vous fera des pès. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 210).

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     BLÉ     
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Tel a peu de blé qui a assez pain cuit. "Il n'est pas nécessaire d'amasser quand on a ce qu'il faut" : Ne vous chaille de tendre a amasser, Mais ne pensez qu'a mener bonne vie ; Qu'en amassant puet on son corps casser Et acquerir courroux, merencolie, Dont venir puet crueuse maladie Qui maintefois a l'ame et au corps nuit ; Qui a santé, pour Dieu, ne se soussie : Telz a pou blef qui a assez pain cuit. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 293).

Rem. Hassell 188, P6 ; DI STEF. 85b, blé. Cf. aussi Morawski 1497 : Len ne doit pas mectre sa faulx en autruy blé.

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     BOITEUX     
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Un homme contrefait ose appeler boiteux un autre homme : Trop me nerveil comme uns homs contrefais Ose boiteux un autre homme appeler, Ne comment cilz que se sent bien meffais Ose des maulx d'un estrange parler. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 96).

Rem. Hassell 55, B128 ; DI STEF. 89a, boiteux.

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     CONSEIL     
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Fou est qui se conseille et ne veut bon conseil tenir : Saincte Juno, vueillez moy conforter, Car je n'ose n'escripre ne parler A ma Dame : quelque part qu'elle soit, Fay lui mes maulx en dormant figurer Par Morpheus ; ce conseil vueil ouvrer : Foulz zqt li homs qui bon conseil ne croit. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 119). Foulz suy, foulz est qui se conseille Et ne veult bon conseil tenir (DESCH., M.M., c.1385-1403, 187).

Rem. Morawski 777 : Fous est qui ne croit consoill ; Hassell 82, CC282. DI STEF. 192a, conseil

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     DÉCONFORTER     
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Trop éjouir, ne trop déconforter ne se doit homme pour chose qui advienne : Trop esjouir, ne trop desconforter Ne se doit homs pour chose qu'il aviengne, mais doit cas tresconstamment porter ; Du bien n'esjouit, ne du mal ne se plaingne, Car Fortune, qui a en son demaine Les cas soudains, mue soudainement Leesse en plour, et dueil en joie maine (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 213).

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     FOU1          FOU2     
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Fou est et folle qui conchie sa conscience : Foulz est et fole Qui conchie sa conscience : Tien toudis vraie ta parole. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 127).

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     IRE     
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Ire en seigneur fait moult à redouter : Ire en seigneur fait moult a redoubter, On le scet bien a Milan, a Pavie ; Ne fist Noiron Seneque a mort livrer Hastivement et par mauvaise envie ? (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 307).

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     LEVER     
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À main lever ne gît pas l' exploit. "Il ne suffit pas de se lever tôt pour obtenir ce qu'on souhaite ; tous les efforts ne sont pas récompensés" : Las, je e puis reposer ne dormir, Joye, deduit, ne nul repos avoir, Pour le penser et le doulx souvenir Qu'Amour me fait en mon cuer concevoir De ma dame que j'aym sanz decevoir, Pour qui matin suy levez maintes foiz. Pou m'a valu, si puis dire pour voir : A main lever ne gist pas li esplois. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 281).

Rem. Morawski 182 : Au main lever n'est pas sovant li esplois ; Hassell 147, L36.

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     MÉCHOIR     
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Celui à qui il méchiet, chacun lui mésoffre/ est souvent dégabé "Plus vous êtes malheureux, plus on vous fait du tort" : On mésoffre quant il meskiet, Et ciertes chil font grand pékiet, Qui de riens autrui contrarient, ne de leur méseschance rient (GILLES LE MUISIT, Poésies K., t.1, c.1347-1353, 14). On mésoffre tantost chascun s'il li meskiet ; Se le désire-on dou sien, quant il eskiet. Tels hom se poet vanter que trop mal a paiskiet Et n'a mie bien karolet, ne treskiet. (GILLES LE MUISIT, Poésies K., t.2, c.1347-1353, 6). Il [Bauduin] fuit dessus le pierre, tant qu'il fu miedis, C'on ne li aporta, par sens et par avis, A mengier, ni à boire, nie plus c'une soris (...). Là n'i ot crestien dont fuit de riens servis, Car cascuns si fuïoit com s'il fuit kiens rebis ; Chellui cui il mesquiet on mésoffre toudis. (Baud. Sebourc B., t.1, c.1350, 333). Et dist Guy de Nanteul : "Huymés rien n'en sarés. Trop ay esté de vous laidement rempronés ; Mais cil qui il meschet est souvent degabés." (Tristan Nant. S., c.1350, 183). ...Mais qui riens n'a, chascun lui fait le nique : Cui il meschiet, tous jours on lui mesofre. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 291). Il avoit esté si presumptueux que il n'amiroit nul seigneur voisin que il eust (...), pour quoi il le plaindoient mains de ses persecutions. Ensi avient, et que li proverbes soit voirs que on dit, car, à cellui à qui il meschiet, chascuns lui mesoffre. (FROISS., Chron. R., X, c.1375-1400, 239). Lors vint en place un vocquable qui commença a dire : "A qui il meschiet, chascun lui mesoffre." (Percef. IV, R., c.1450 [c.1340], 1045). Qui luy meschiet, il luy mesoffre. Nos dieux luy veuillent pardonner Son pechiet et le guerdonner Selonc ses glorieux merites. (MOLINET, Myst. st Quentin C., c.1482, 302).

Rem. Morawski 442 : Cui li meschiet on li mesoffre ; Hassell 162, M103.

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     MOYEN1          MOYEN2     
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Qui tient le moyen, il va le sûr chemin. "Qui évite les extrêmes, arrive sûrement" : Mais qui en l'amoureus loien Est loiez, s'il tient le moien, Il ouevre bien et sagement. Et li sages dist qui ne ment Qu'adès li bonneüreus tiennent Le moien partout ou il viennent. (MACH., J. R. Nav., 1349, 237). Ou hault sommet de la haulte montaigne Ne fait pas bon maison edifier, Que li grant vens ne la gaste et souspraingne ; Ne ou bas lieu ne la doit pas lier : Car par eaues pourroit amolier Le fondement et perir le merrien ; Nulz ne se doit ne hault ne bas fier : Benoist de Dieu est qui tient le moyen. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 185). "...Beau Filz," dist la royne, "les grans levees de boucler et toutes extremitez sont deffendues en noz precieuses forges, vaine gloire et jactance et desiree apparance sont contraires a la vertu de magnanimite, et souverainement en un roy, a laquelle il souffit son operacion sans la doubler d'une palliacion. Qui tient le moien, il va le seur chemin ..." (MÉZIÈRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 343).

Rem. Hassell 173, M242 ; DI STEF. 569a, moyen.

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     OREILLE     
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Ce qui entre par une oreille par l'autre sort : Pourrez vous bien le cours du firmament Faire muer ? eaue devenir cendre...? - Certes, nennil. - Neant plus entreprandre Ne devez vous a rude cuer l'assaut ; Par l'une entre, par l'autre oreille sault Ce qu'on lui dit, n'est que riote et plès ; Depportez vous d'enseignier tel vassaut : Chantez a l'asne, il vous fera des pès. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 211). Ce qui m'entre par une oreille, Par l'autre sault, com est venu, Quant d'y penser n'y suis tenu ; Ainsi Raison le me conseille. (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 327).

Rem. Hassell 185, O75 ; Di Stefano 619c, oreille.

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     PAIR1          PAIR2     
Chacun se doit à son pair assembler : Moult sont belles les euvres de nature, Laides aussi quant au desnaturer ; Une jument n'aroit de toreaux cure, Ne la chievre n'a cure du sangler. Chacun se doit à son per assembler, Pour bien vivre non dissemblablement. Homme et femme voy en ce trop errer : Foulz est vieulz homs qui jeune femme prant. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 117).
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     RICHE     
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Jamais riche homme n'ira en paradis : Ainsi regner en ce monde lui fault, Par sonpouoir, desur povre toudis, En esperant ce mot qui petit vault : Ja riches homs n'yra en paradis. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 73).

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     SERVIR     
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Servir Dieu est (vivre et) régner : Princes, qui veult faire son sauvement Rende s'a Dieu, saint Poul ce nous descript ; Le monde laist ; car, a mon jugement, Servir a Dieu est regner, si c'om dit. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 176). LE RELIGIEUX. Le conseil en est desja prins, Et ayme mieulx cy souffrir peine Que d'estre perdu et surprins Es deliz de vie mondaine. L'on n'a pas joye souveraine Pour estre aise ne sans pener ; Il n'est tel que vie certaine : Servir Dieu est vivre et regner. (ALECIS, Déb. omme mond. P.P., c.1500, 139).

Rem. Hassell 229, S89.

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     TEMPS     
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Il faut prendre le temps comme il est/comme il vient : - Au jour d'ui n'est ne feste ne revel Fors que procès, guerre, plait et turment ; Haine voy regnertrop durement, A convoitier est tout le monde prest. - Que fera l'en ? - Je te respons briefment : Il fault prandre le temps si comme il est (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 145). Prangne chascun le temps tel qu'il vendra, Pour chastier n'en sera moins ne plus, Car voluntiers l'un de l'autre prandra Les biens mondains, pour soy mettreau dessus, Estat avoir, mettre son voisin jus (...) : L'en ne craint Dieu, Paradis ne Enfer. (DESCH., Oeuvres Q., t.6, c.1370-1407, 220). ISAAC. Ainsi comme le temps viendra Prendre le fault ; c'est une foiz. REBECQUE. Tel qu'il viendra il le prendra ; Mais il fault vivre toutesfoix. (Myst. Viel test. R., t.2, c.1450, 108).

Rem. Morawski 1463 : Len doit prendre le temps comme Dieu l'envoye ; Hassell 236, T24 ; DI STEF. 827b, temps.

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     TERRE1          TERRE2     
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Qui terre a, il a guerre : ...trop est vray ce que on seult dire : qui ha terre, il a guerre. Vrayement ce royaume est en guerre et persecucion sans cesser, et n'y a vice ou peché qui ne s'efforce l'envair et l'occuper par les cinq passages de mes cinq sens. (GERS., Mendicité G., 1400-1401, 243). LE PREMIER PARENT. Biens mondains font guerre mortelle, Car, ainsi qu'on dit, "qui a terre Ne peult vivre sans avoir guerre", Le proverbe assez s'entend. LE SECOND PARENT. Se chacun du sien fust contend, La paix serait universelle (Myst. Viel test. R., t.4, c.1450, 338).

Rem. Morawski 1821 : Qui a terre si a guerre ; Hassell 237, T36 ; DI STEF. 833a, terre.Variation sur le proverbe : : Mais pour tes maulx, enfant roy, te donrray, Vé ! terre, a toy ! car grant division En tes princes et ou peuple mettray, De toy feray la transmigracion, Car en toy n'a que variacion, Envie, orgueil, convoitise et mesdis (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 316).

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     VANITÉ     
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En ce monde il n'y a que vanité : Il me semble, qui bien s'aviseroit Des biens mondains, terriens n'auroit cure, Ainçois du tout iceulx relenquiroit ; Car Salemon tesmoingne en l'escripture (...), Qu'en ce monde n'a fors que Vanité. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 239). LE RELIGIEUX. Pauvres et riches, qui vivront Selon desir et volupté, Ja a mourir n'en laisseront. Nul n'est de la mort exempté ; L'yver si vient après l'esté Et le doulx se tourne en amer ; Au monde n'a que vanité : Tout se passe fors Dieu aimer. (ALECIS, Déb. omme mond. P.P., c.1500, 156).

Rem. Hassell 244, V11.

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     VIEUX     
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Fou est vieil homme qui jeune femme prend : Moult sont belles les euvres de nature, Laides aussi quant au desnaturer ; Une jument n'aroit de toreaux cure, Ne la chievre n'a cure du sangler. Chacun se doit à son per assembler, Pour bien vivre non dissemblablement. Homme et femme voy en ce trop errer : Foulz est vieulz homs qui jeune femme prant. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 117).

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     VIOLENT1          VIOLENT2     
Chose violente ne peut durer à la longue : Prince, le temps tourne et retournera, Rien violent ne puet durer au fort ; Saiges est cilz qui cy s'avisera : Chascuns le veut avoir, soit droit soit tort. (DESCH., Oeuvres Q., t.1, c.1370-1407, 109). Chose qui vient par accident soudain Et violant, n'a pas longue duree. L'eaue descent soudainement ou plain Et semble mer par toute la contrée ; Mais en brief temps est l'eau consumée Et ne remaint de tout fors le rivage Et le droit cours de l'eaue acoustumée (DESCH., Oeuvres Q., t.2, c.1370-1407, 50).

Rem. Hassell 216, R44.

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